« Si l’ultime paradis aux mille délices est un jardin, pourquoi ne pas en profiter dès à présent sur Terre? »
« Un beau matin, Christian Gruszka s’est branché jardin.
Des pépinières ont vu le jour, les projets suivis de chantiers se sont multipliés dans le massif alpin.
Etagés jusqu’aux altitudes limites notamment en stations, les jardins se fondent dans l’environnement et la flore naturelle.
Echappé des Savoies Christian a participé au 1er Festival de Jardinage de la Villette, aux Journées de Courson, à celles du Potager du Roi à Versailles.
Sur l’invitation de Jean-Paul Pigeat, il a imaginé un des 9 jardins envisagés sur le site de Beaubourg pour l’expo « Parcs et Jardins » (1991).
La sensibilité de ses jardins se tient en retrait du discours « espaces verts ».
Le cadre naturel prime. S’y rallier, quelque soit l’ambition d’un projet, ouvre les perspectives les plus riches.
En milieu urbain et/ou touristique, le fonctionnement des services ( circulations, cheminements, stationnements, commerces, loisirs,…)
est prépondérant. La recherche opérationnelle sur les espaces permet d’évacuer nombre de crispations au profit d’une trame fluide.
Le maillage des emprises établi, l’exubérance végétale s’en donne à coeur joie sans empiéter.
L’essence du jardin repose sur l’expression vitale … des sens !
Il se prête mal aux compulsions consuméristes. C’est un lieu de ressenti, de paix, de ressourcement, de temporalité assagie.
Il se livre petit à petit, chaque année plus prometteur, offrant des sensations qui, au rythme des saisons, gagnent à se faire désirer. »
« Si l’ultime paradis aux mille délices est un jardin, pourquoi ne pas en profiter dès à présent sur Terre? »
« Un beau matin, Christian Gruszka s’est branché jardin.
Des pépinières ont vu le jour, les projets suivis de chantiers se sont multipliés dans le massif alpin.
Etagés jusqu’aux altitudes limites notamment en stations, les jardins se fondent dans l’environnement et la flore naturelle.
Echappé des Savoies Christian a participé au 1er Festival de Jardinage de la Villette, aux Journées de Courson, à celles du Potager du Roi à Versailles.
Sur l’invitation de Jean-Paul Pigeat, il a imaginé un des 9 jardins envisagés sur le site de Beaubourg pour l’expo « Parcs et Jardins » (1991).
La sensibilité de ses jardins se tient en retrait du discours « espaces verts ».
Le cadre naturel prime. S’y rallier, quelque soit l’ambition d’un projet, ouvre les perspectives les plus riches.
En milieu urbain et/ou touristique, le fonctionnement des services ( circulations, cheminements, stationnements, commerces, loisirs,…)
est prépondérant. La recherche opérationnelle sur les espaces permet d’évacuer nombre de crispations au profit d’une trame fluide.
Le maillage des emprises établi, l’exubérance végétale s’en donne à coeur joie sans empiéter.
L’essence du jardin repose sur l’expression vitale … des sens !
Il se prête mal aux compulsions consuméristes. C’est un lieu de ressenti, de paix, de ressourcement, de temporalité assagie.
Il se livre petit à petit, chaque année plus prometteur, offrant des sensations qui, au rythme des saisons, gagnent à se faire désirer. »
Cliquez sur les vignettes pour en savoir +.
Cliquez sur les vignettes pour en savoir +.
Petit lexique de botanique